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  • Prunette
  • Trentenaire, célibataire à temps partiel et chiante à temps plein ! Dynamique, sensible, je vois le monde avec humour à travers mes yeux de myope, et c'est pas triste...
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Quoi qu'on trouve

En exclu tout sur la nouvelle série d'NRJ 12 : L'actu des stars, le guide des épisodes, les photos... Nan mais et puis quoi encore??? Ici c'est pas un blog d'ado boutonneux ! Vous trouverez ici la vie de ma petite personne : pensées, recettes, rendez-vous galants foireux... bref la vie comme elle est. 

 

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Vieilleries

5 février 2007 1 05 /02 /février /2007 20:19

Aujourd’hui voici la contribution de ce cher Ohemeg qui a gagné du nutella croquant…

 

Faire un essai sur la cuisine… je pourrais dire que d’un côté pratique elle doit être spacieuse et pratique ce doit être un endroit conviviale où l’on a envi de faire plaisir et de se faire plaisir. D’ailleurs la mienne et chouette et c’est moi qui l’ai posé ;o)

 

La cuisine de mes rêves ? Fermons les yeux un instant et imaginons la scène. En Provence, il fait beau, il fait chaud, les oiseaux voltigent, les cigales chantent et l’odeur de la lavande est omniprésente. De la fenêtre de la cuisine on aperçoit le paysage nivelé et la porte fenêtre donne sur la terrasse du jardin où une table de convives est dressée. De part et d’autres, ça parle, ça rigole, le tout sur un fond musical.

 

Côté cuisine, les fourneaux s’activent, les casseroles et les poêles s’entrechoquent pour laisser place à des ingrédients qui se mélangent afin de créer de bonnes odeurs qui activent nos papilles et nous font saliver à l’avance. Outre les ingrédients les gens aussi se mélangent pour la faire vivre, d’un côté des femmes papottent en préparant la vinaigrette et la salade, de l’autre les hommes préparent les boissons, les enfants ramènent les baguettes du boulanger du village d’à côté (elles sont chaudes, fumantes et savoureuse et croustillante…), d’autres dressent la table. Tout se passe au mieux jusqu’au moment où des défis se lancent et là…les œufs atterrissent dans les cheveux, de la farine sur la figure, tout le monde court dans le jardin, le tuyaux d’arrosage est pris en otage et c’est un soulagement vu la température extérieure. Des cris, des rires fusent de toute part, de quoi donner faim à tout ce beau monde. Les gens se rassemblent, chacun récupère quelque chose dans la cuisine et l’amène à table, et que se passe t-il ensuite ?

 

Nous ne le saurons pas car vous venez de rouvrir les yeux et vous ne pouvez qu’imaginez le bonheur que cela aurait été de partager tout cela avec eux. Vous n’avez plus qu’une envie, réaliser un tel repas entouré d’amis….
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4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 01:11

Avec presque un mois de retard (oui mais ce fut un mois mouvementé ne m’en voulez pas…) voici les écrits gagnants du concours. Aujourd’hui je vous présente la prose d’Alain qui a gagné un pot de ma délicieuse confiture de lait souvent imitée jamais égalée…

Itinéraire bis autour de la pomme d’api, voilà les hauts faits d’un petit couteau : fines épluchures qui délivrent la chair interdite du fruit défendu. Jamais je n’ai pu supporter la peau de la pomme d’Adam, toujours il me fallait la mettre à nu pour trouver derrière cette vaine protection le sucré délicieusement juteux, le croquant doucement sous mes dents aiguisées d’un appétit d’oiseau car des pommes, sous les pommiers j’en ai beaucoup laissées sous le soleil vertueux de ma jeunesse où heureuse et folle, sans retenue, soulevant ma robe sans autre motif que d’y voir plonger le vent dans les motifs imprimés de l’été, se délecter des couleurs roses et si tendres à se rompre du tissu de soie, des fibres qui de moi s’étaient gorgées et ainsi jetées parfumaient la terre tout entière. Je folâtrais, perdue entre les pommes dans mes pensées où je préférais de loin les pommes d’api aux pommes d’Adam, ces dernières bien fermes et souvent dures voir raides sous la dent n’avaient pas la rondeur, l’onctuosité, la légèreté dévêtue qu’Api à quatre heures, au goûter, sous la tonnelle où Bacchus hier s’était livré à l’enivrement dont subsistait encore sous le treillis de vignes vierges l’odeur entière, sauvageonne qui s’enfuie nue dans les bois où je la poursuivis tant de fois, dans le même appareil, sans rien d’autre que cette belle nature pour sous-vêtement, juvénile et gracieuse, à la recherche du même plaisir d’aimer des pommes dont nos joues garderaient à jamais le secret.

 

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28 janvier 2007 7 28 /01 /janvier /2007 00:31

Ingrédients :

Un chiri !!!!! (oui oui oui)

2 blancs de poulet (la prochaine fois j’en mettrai 3)

un oignon

3 bonnes cuillères à café de curry

sel poivre

riz (suffisamment pour nourrir l’homme, c’est à dire qu’il n’aie pas faim au point de se faire un sandwich de killer au kiri une heure après…hum hum)

de la crème

un chouilla de beurre

un peu d’huile 4 graines

Commencer par dépenser les calories que vous comptez avaler (si ça c’est pas être prévoyant !)

Quand il commence à faire faim, laisser choisir le menu à l’homme : il s’est décidé pour l’option « je mets ma princesse derrière sa gazinière pour qu’elle me prépare un truc mortel et que je sois encore plus sous le charme… »

Mettre de l’eau à chauffer pour le riz, émincer l’oignon (sous un filet d’eau ça évite de pleurer et d’avoir les mains qui sentent l’oignon, car c’est moyen quand on est en charmante compagnie). Dans une casserole faire chauffer un peu d’huile 4 graines et dans un geste aussi gracieux que sportif y jeter l’oignon, pendant qu’il dore, rissole et que le chiri vous fait plein de bisous (ça c’est trop bien) essayer d’émincer le poulet. Quand l’oignon est doré comme il faut (c’est à dire avant qu’il ne brûle… moi je suis la pro l’oignon est toujours nickel, pile poil comme je le souhaite) ajouter le poulet et le curry (j’y suis allée de bon cœur, ceux qui n’aiment pas trop peuvent en mettre moins) le sel et le poivre. Laisser cuire en remuant de temps en temps. (J’espère que vous avez pensé à mettre le riz !!! moi j’avais pas oublié). Bisouter et calinouter le chiri pour pas qu’il se sente trop seul (je tiens tout de même à préciser qu’il a proposé son aide un bon millier de fois, sans dec j’ai dégoté une espèce en voie de disparition…) Quand le poulet est cuit ajouter un peu de crème fleurette, et servir joliment présenté à l’objet de votre affection. Je dis poulet au curry pour mon chiri car quand je le fais normalement je mets une pomme et je remplace la crème par du lait de coco mais le monsieur n’aime pas le sucré/salé. Le jour où il m’a embrassée j’aurais mieux fait de me casser une patte, mes expériences culinaires vont en souffrir, vous êtes prévenus…

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14 janvier 2007 7 14 /01 /janvier /2007 17:33

Tiens un vieux truc que j'avais écrit en mai 2005, que popine Katell avait conservé pour moi (heureusement qu'elle est là car sinon je sais pas comment j'aurais fait...)

Tout d'abord pour mes popines de la SG n'allez pas croire que je n'ai pas voulu vous amener la tarte parce que je n'avais pas envie, ça m'embête assez de devoir manger une tarte complète...

En rentrant ce soir j'ai regardé comment se portait ma tarte; pour faire un rapide résumé de la situation je rappelle que je n'avais eu aucun problème avec la couche de choco noir, que la couche de choco lait ne voulait pas durcir et que du coup la couche de choco blanc n'a pas voulu non plus, en désespoir de cause j'avais tout foutu au congel dans la nuit de samedi à dimanche histoire de l'aider un peu, dimanche matin au réveil oh miraclette! tout avait l'air parfait, j'avais donc décidé de la rapatrier vers des températures plus clémentes, la partie haute du frigo, car la pâte sablée congelée c'est pas terrible, j'avais donc baissé la température de mon frigo en partant de manière à ce que ce soit bien froid quand même.

Je reviens donc ce soir et là c'est la cata! la tarte est à servir à la louche et à manger à la paille, c'est intransportable dans le métro (ben oui en voulant bien faire j'ai mis du chocolat jusqu'en haut) je suis écœurée.

On a goûté avec C. c'est bon (quoique un peu trop sucré à mon goût) j'ai donc décidé de creuser encore l'idée.

En attendant, je pense faire une tarte sablée avec ma base de chocolat noir et de la poire, puis retravailler la crème au choco blanc et en faire une tarte avec des framboises... il est bien évident que mes chères collègues serviront de cobaye dès que l'une des tartes aura une consistance me permettant de la servir dans autre chose qu'un bol...

Bon ben y’a du boulot !

 

 

 

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13 janvier 2007 6 13 /01 /janvier /2007 02:12

Heureusement que je m’en suis aperçue et que j’ai eu la gentillesse de lui descendre…

 

Alors à la demande générale de mes invités voici le menu détaillé de ce soir.

 

Pour 5 convives + un doggy bag, il vous faut plein de trucs !

 

1 pépette, son mec et 3 shoupinettes (mention spéciale pour T. qui a survécu au blablatage intensif de 4 nénettes loin d’être timides, introverties et d’avoir la langue dans leurs poches)

 

15 verrines (j’en ai pas trouvé, j’ai acheté des verres à shots, donc la prochaine soirée sera sans doute une soirée beuverie pour rentabiliser l’investissement !)

 

un peu de saumon fumé

 

du guacamole

 

du tartare de tomates confites

 

des chèvretines (une barquette c’est suffisant)

 

des bâtonnets de gressin pour la déco

 

du roquefort ou du bleu d’auvergne

 

du gingembre (penser à en mettre beaucoup plus la prochaine fois !)

 

de la crème épaisse

 

2 poires au sirop

 

mon super sel aux aromates

 

4 pavés de saumon

 

5 blancs de poireaux

 

de la ciboulette

 

7 crêpes (5 pour ce soir et 2 pour le doggy bag, car maintenant j’œuvre aussi pour le repas du lendemain de cette personne ayant des difficultés à comprendre comment remplir son frigo et surtout comment se servir de ce qui s’y trouve !!)

 

des fruits

 

du chocolat

 

un peu de crème fleurette

 

des chamallows

 

des madeleines

 

 

 

Rentrer complètement en panique et survoltée, et commencer comme d’hab par un rapide tour d’appart’ voir si ce dernier est présentable (c’est incroyable ce que je suis devenue ordonnée depuis que je vis seule, personne n’en revient, moi la première et mes parents encore moins !!! ), faire en vitesse la pâte à crêpes (yes j’ai acheté les œufs je suis une vraie fée du logis) laisser reposer. Couper en rondelles les blancs de poireaux et les mettre à cuire avec un peu de beurre, du sel et du poivre. Disposer vos verrines sur un plateau (vérifier que votre plateau rentre dans le frigo avant peut s’avérer utile, voir même très utile !) Ecraser les chèvretines avec un peu de crème épaisse. Au fond de 5 verrines mettre une cuillère à café de tartare de tomates confites, puis une bonne cuillère à café de chèvretine, saupoudrer de sel aux aromates. Bravo vous venez de réaliser vos premières verrines ! Ça mérite quand même pas une ola mais c’est pas si mal, on fera peut être quelque chose de vous… Couper le saumon fumé en dès et le disposer au fond de 5 autres verrines, ajouter une cuillère de guacamole et un bâtonnet de gressin. Surveiller évidemment la cuisson des poireaux mais comme vous êtes en mode multifonctions en permanence cela est du domaine de l’évidence, quand les poireaux commencent à être cuits ajouter les pavés de saumon et bien mélanger pour qu’ils s’émiettent et laisser cuire à feu doux. Ecraser le roquefort avec un peu de crème et ajouter le gingembre (beaucoup de gingembre) haché. Déposer le mélange au fond des 5 dernières verrines ajouter un morceau de poire.

 

Faire vos crêpes, ouvrir à la shoupinette adepte du quart d’heure aixois qui est en avance !!! (vous le croyez ça ?? vous avez raison, en fait je lui avais envoyé un sms pour qu’elle arrive plus tôt pour me donner un coup de main). Recevoir vos invités comme il se doit et servir l’apéro, blablater et passer à table. J’ai servi mes verrines telles quelles sur le plateau c’est sympa niveau présentation. Laisser vos invités parler tranquillement pendant qu’une shoupinette et vous confectionnez les aumônières de saumon (c’est très simple : mettre le mélange saumon/poireaux au centre d’une crêpe et refermer comme une bourse à l’aide de 2 cure-dents) parsemer de ciboulette pour la déco (merci shoupinette pour ton aide c’était très gentil, j’apprécie énormément ta fibre artistique !) Continuer le repas en disant du mal de la terre entière et passer tranquillement au dessert. Faire fondre du chocolat avec un peu de crème fleurette, peler et couper les fruits en morceaux, coupez les madeleines, ouvrir le paquet de chamallows, tout mettre dans des assiettes et coupelles, sortir votre appareil à fondue au chocolat et tout amener sur table laisser vos invités se battre avec le chocolat un peu trop épais (rajouter un peu de crème au besoin).

 

Conclusion : une soirée très sympa, ravie d’avoir revue pépette et son jules (dans la mesure où toutes mes copines c’est pépette, cocotte ou shoupette vous n’avez aucune idée de qui je parle…), j’ai trouvé le plat un peu fade (mais très bon) il faudrait rajouter une épice je pense. Mais mes cobayes étaient une fois de plus ravis de l’expérience. Sinon devinez qui a failli partir sans son doggy bag ???

 

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8 janvier 2007 1 08 /01 /janvier /2007 00:07

Ce qu'il vous faut :

2 rouleaux de pâte feuilletée au rayon "ma mère ne m'a rien appris en cuisine" de votre supermarché préféré (perso je ne m'embête même plus à la faire car on en trouve de "pur beurre" vraiment excellentes alors bon pourquoi se casser la tête??)

120gr de chocolat

80gr de beurre

80gr de poudre d'amandes

80gr de sucre (j'ai mis de la cassonade, pourquoi?? aucune idée)

2 oeufs + 1 jaune

2 cuillères à soupe de rhum

1 fève négociée à une collègue contre un prêt de DVD de Bollywood

1 gars suffisement timbré pour me supporter 5 heures

1 Shoupette

D'autres personnes dont la compagnie est agréable (mention ++ pour Luna)

1 Shoupinette (à ne pas confondre avec la shoupette)

Commencer comme d'hab par manoeuvrer votre panier à roulettes dans les allées de votre supermarché (suis allée aux Lafayette gourmets, il a fallu que je porte mon panier, la loose !!!). En attendant l'arrivée de Shoupinette samedi soir, préchauffer le four 200°C. Faire fondre le beurre avec le chocolat, ajouter la poudre d'amandes, le sucre, les oeufs et le rhum. Bien mélanger.

Ouvrir la porte à Popine qui vient d'arriver, discutter en étalant la pâte dans un moule à tarte. Verser l'appareil sur la pâte et poser une fève. Donner le saladier avec une petite cuillère à Shoupinette. Pendant qu'elle fait un sort à ce qui restait au fond du saladier recouvrir de la 2ème pâte, souder les bords et badigeonner la galette de jaune d'oeuf. Mettre au four 25 minutes.

Le lendemain, partir juste à l'heure, arriver à la gare, attendre 3 plombes pour avoir 2 malheureux billets que je n'ai même pas oblitéré (pas trouvé le truc), se rendre compte que le train part dans une minute et ne pas savoir où se trouve le quai... Courir, percuter un mec de plein fouet, sauter dans le premier wagon venu et remarquer que l'impact a amoché la galette et qu'en plus un moule téfal dans la poitrine ça fait vachement mal!!!

N'empêche qu'elle était bien bonne cette galette, n'est ce pas les filles??

Sinon recette originale trouvée ici

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4 janvier 2007 4 04 /01 /janvier /2007 17:45

Oyez oyez lecteurs de ce blog, voici le premier concours de La vie comme elle est, de fabuleux prix sont mis en jeu avec entre autre une place d’honneur lors du prochain dîner cobaye le 12 janvier. Le but du jeu est simple : écrire sur la cuisine, ça peut être un essai complètement foiré, un premier dîner en amoureux, le truc le pire que vous ayez mangé… Soyez créatifs, inspirés, émouvants, drôles le truc pour gagner c’est que ça vienne des tripes. Si vous prenez plaisir à l’écrire le jury prendre plaisir à le lire. Sont acceptés aussi les dessins, photomontages et tout ce qui vous inspire !

Vous avez jusqu’à mardi 9 janvier minuit pour envoyer votre participation à petite_prune chez hotmail.com.
Les autres prix mis en jeu : une barrette de macarons Ladurée, un pot de ma sublime confiture de lait et du nutella croquant.

A vos claviers !!!

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26 décembre 2006 2 26 /12 /décembre /2006 19:20

Le réveillon de Noël est quelque chose d’assez sportif chez nous qui demande outre des nerfs d’acier (vous comprendrez pourquoi dès que j’aurai le temps de taper ce que j’ai écrit dans le train) un estomac digne de Joey Triviani (référence ???) Donc j’ai survécu aux toasts, salade russe, koulibiac, plateau de fromages, 13 desserts et retoasts, huitres, poularde (enfin bœuf pour moi) écrasé de pommes de terres à la truffe (pas pour moi les ptits bouts noirs je trouve ça pas bon du tout !) replateau de fromages et bûches estoufagas, sans parler des chocolats, marrons glacés, caliçons et tout le tralala… Je ne suis pas mécontente que cela soit terminé car j’ai encore la sensation que mon estomac va exploser… Sinon pour le réveillon j’ai 2 projets : n°1 le monde merveilleux de Mickey, n°2 un repas entre initiés à mi casa. Qui fait quoi ? Posez vos candidatures pour l’une ou l’autre des options et j’étudierai votre dossier… D’ici là digérez bien en attendant dimanche.

 

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20 décembre 2006 3 20 /12 /décembre /2006 22:18

Dans la catégorie "je suis mon idée de Noël provençal à Paris avec pugnacité" voici le post que les gourmand(e)s vont préférer à savoir, les 13 desserts. Pourquoi 13 me diront les gens un minimum curieux (selon l'heure de lecture de ce post je peux comprendre le regard bovin de certains...)? Ils sont 13 comme les convives au repas de la cène (christianisme quand tu nous tiens...). Je vous les dévoile dans leur version la plus courante par chez nous.

- Figues sèches

- Amandes

- Noisettes

- Raisins secs

- Noix

- Mandarines/Oranges

- Pommes

- Poires

- Dattes

- Fruits confits

- Nougat blanc

- Nougat noir

- Pompe à huile

Alors que les parigots renoncent dès maintenant, la pompe à huile c'est comme la couronne des rois au mois de janvier, sur Paris CA N'EXISTE PAS !!!! (zont aucun goût ces parisiens, ils savent pas ce qui est bon...) donc déjà c'est mort pour vous. Mais je penserai bien à vous en trempant un morceau de cette merveilleuse galette à l'huile d'olive et à la fleur d'oranger dans mon verre de muscat (trop booooon !!!!) le 24 au soir ou le 25 midi. Sinon vous en êtes où de vos cadeaux??

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17 décembre 2006 7 17 /12 /décembre /2006 20:58

Depuis quelques jours je m'affairais aussi bien en cuisine que dans mes supermarchés préférés pour préparer aux shoupinettes et au ptit couple un dîner qui resterait exceptionnel pendant au moins 3 mois (ben oué l'amitié tout comme les liens familliaux ça s'entretient à grands renforts de coups de fourchette!!!). Pari réussi je pense : salade de saumon fumé et concombre / chantilly à l'aneth et au citron, suivie de hamburger de foie gras accompagné d'une salade de mâche au vinaigre de cassis et pour conclure un délice glacé au chocolat noir corsé et crème anglaise. J'avais également fait de mes petites mains qui n'ont peur de rien des feuilletés pour accompagner le champagne à l'apéro (entre autre les fameux feuilletés au thym dont je parle dans le post précédent).

Je ne cherche pas la reconnaissance d'un talent qui n'est plus à démontrer (et en plus j'ai le triomphe modeste) j'aime avant tout faire plaisir à mes invités, leur faire découvrir une association de saveurs à laquelle ils n'auraient pas pensé. Je leur suis reconnaissante de goûter sans ciller les plats les plus inattendus que je leur sers car sans leur bonne humeur et leur volontariat cuisiner serait une corvée...Mais la vraie question est qui est rentré avec un doggy bag? A ce niveau là c'est du doggy bag de luxe !

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